Mission à Madagascar
Mai-Juin 2016
Jean Lichou
Les voies de communication
La Nationale 7
Le pont de Manakarabé
La piste vers Ifatsy
Vers les villages
La circulation
Taxi bé pour la route
Pousse-pousse en ville
Au final il ne reste que la marche à pied comme les écoliers et les villageois
Les acteurs
Union de 5 groupements de producteurs du district de Vohipeno - 221 familles
L’équipe technique
(de g. à d.: Thor, Nassia, André)
Le bureau de l’Union des producteurs FTMV lors de la signature de la convention
Une partie des membres
Ambohimiadana site Microfel - FTTFI - FTMV
Parcelle de culture légumière, Nouvelle clôture, Couchage,
Intérieur multi-usage, Projet d’aménagement pour une meilleure fonctionnalité
Andemabé - Groupement Mandroso
Remontage provisoire de la salle de réunion après cyclone par les membres.
Projet de reconstruction plus solide chiffrée à 5 Millions d'Ariary (1500€)
Mideboka – Groupement Manambosoa
Manioc en basket compost: parcelle collective - Riz et légumes
Anapotatra – Groupement Soamiray
Partiteur, bief et canal de dérivation, Parcelle de riziculture améliorée en démonstration
Champ collectif de manioc en préparation
Groupement Tsaradia
Parcelles sur un terrain collectif
Besoin d’améliorer l’arrosage: pompe et réservoir en hauteur à chiffrer
Techniques
Semis sur table et en bacs bambou
Pots en feuille de Ravinala
Brouettes métalliques: rapidement rouillées;
à remplacer par des brouettes en bois
Ananas en planche et floraison contrôlée
Marché de Vohipeno
Allées boueuses
Produits présentés sur des nattes au sol
Perspectives
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Une démarche participative
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Poursuite de l’accompagnement technique et des formations dans
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Autonomie de gestion, contrôlée selon les termes de la convention
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Appui aux petits équipements agricoles
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Recherche de financement pour les investissements collectifs
Le chemin parcouru par les paysans de Vohipeno est sensible et visible sur le terrain. Les progrès sont complexes à appréhender dans le contexte local , aggravé par des conditions météorologiques difficiles.
Ils s’expriment surtout pour les gens en termes de meilleure sécurité alimentaire et de réduction de la période de soudure. On peut raisonnablement dire que la situation s’améliore et qu’une dynamique est créée.
Mais avec lucidité, il faut admettre qu’il reste beaucoup à faire, et que nous avons
encore besoin de moyens pour les accompagner.